Science et religion: le divorce libérateur

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Avril 033

Rue Sherbrooke Ouest, l’amphithéâtre de l’UQAM est déjà rempli lorsqu’Yves Gingras prend la parole. La lumière est tamisée, l’endroit silencieux, quelques rires répondent à l’humour de ce professeur d’histoire qui prêche ici à des convertis. Tel un conseiller conjugal, il retrace l’histoire de la relation houleuse… entre science et religion.

Yves Gingras est titulaire de la Chaire de recherche en histoire et sociologie des sciences à l’UQAM, il est l’auteur de L’impossible dialogue paru en février. S’il a repris la plume, c’est qu’on parle de plus en plus de l’importance d’un dialogue entre la science et la religion, ce qui le fait grincer des dents. Surtout quand il lit le philosophe Charles Taylor : « le divorce des sciences naturelles et de la religion a causé des torts aux deux ». Car selon Gingras, c’est plutôt leur divorce qui a libéré la science de l’oppression de l’Église.

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