Face à l’enseignement public, appelé école pour tous, mélangeant les origines, les convictions, les réussites et les milieux sociaux, l’enseignement « privé religieux » ne serait-il pas une école de la ghettoïsation ?
Si c’est le cas, alors cette question soulève l’idée d’un paradoxe gouvernemental, ayant d’un côté la volonté de vouloir bâtir notre nation sur la laïcité, tout en investissant en même temps fortement dans l’enseignement privé, et donc dans une forme de ghettoïsation culturelle.
Qu’en pensez-vous ?