UN AN APRÈS, NOTRE-DAME DE PARIS VOUS A-T-ELLE MANQUÉ ?

Dernièrement portée comme un symbole du confinement durant le week-end pascal, Notre Dame, depuis l’incendie, est l’objet de toutes les mises en scène de la mauvaise foi catholique. En effet, quoi de mieux pour les cadres et responsables de cette religion que de cacher la honte de leurs échecs cuisants, de leur irresponsabilité cynique et de l’impuissance de leur culte, derrière les ruines d’un monument mondialement connu, emblème s’il en est de l’architecture ostentatoire de l’époque gothique.

LE PIÈGE

Mais cette mise en scène cache un piège habilement utilisé par les communicants de cette religion, cultivant un amalgame à leur avantage, celui de la passion que beaucoup d’entre nous entretenons pour ce genre d’architecture, avec une frénésie, supposée, pour leur croyances. Cet amalgame ne convainc en fait que peu de monde, n’étant pour les décideurs de cette religion, qu’un faire-valoir pour rassurer leur communauté, montrer à leur monde, que l’humanité dans son ensemble, entretient une compassion frénétique pour, non pas le bâtiment, mais bien évidement, leur culte religieux et ses diverses traditions.

A l’image de Notre Dame de Paris ravagée par les flammes, ce culte et ses dérives s’érodent peu à peu, laissant derrière lui des merveilles d’architecture ciselée de la main de l’homme, des restes de mythologie anciens, qui rappelleront à nos générations futures, cette époque ou les hommes croyaient encore en dieu.

Notre Dame ne nous manque pas en tant que temple, mais manquerait à l’humanité, en tant qu’architecture d’exception.  

GR

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