geneadm C’est quand même dingue que les athées, pourtant largement majoritaires, laissent, par pure connerie, des minorités totalement irrationnelles leur imposer des projets de société basés sur une hypothèse improbable.
Et ce n’est pas en dénonçant sans arrêt leurs pitoyables cultes que ça va changer, c’est en se bougeant, en prenant conscience de l’IMPORTANCE DES ENJEUX POLITIQUES ET SOCIAUX et en ouvrant votre gueule. Mais là encore, ouvrir sa gueule tout seul dans son coin pour augmenter ses followers et son ego, ou soulager sa conscience par un like ou un partage, ne sert à rien, car “Si vous ne faites rien de tangible contre les religions, vous ne faites tout simplement rien !“
Ne soyez pas crédules.
Vous croyez qu’un like ou un post d’alerte va faire vaciller les religions ? Franchement, elles n’en ont rien à foutre, ça ne les touche même pas, au pire, cela fera réagir un ou deux croyants, mais pour le reste, ce n’est que du vent, du néant, du rien… La seule chose qui effraiera les religions, c’est de vous en prendre à leurs pouvoirs politiques, sociaux et économiques, en confrontant un véritable contre-pouvoir athée, rationnel et fort, représentant plus de 50 % de la population.
Voilà, c’est là qu’il faut agir, montrer qui est le patron, en envoyant nos troupes et groupes de pression s’opposer aux leurs, en imposant nos valeurs et nos projets de société, et le tout sans leur faire de cadeaux, car les religions, elles, ne nous en feront pas, bien au contraire.
En seulement quelques années.
En ce 21ᵉ siècle, être athée, c’est bien plus que ne pas croire en l’existence d’un dieu, c’est s’engager dans un contre-pouvoir et des actions politiques, dans des alliances capables, en seulement quelques années, de faire tomber toutes les religions.
Pour l’instant, seule Génération Athée a la capacité d’organiser un tel contre-pouvoir, en créant un réseau à l’échelle européenne, en formant directement les membres actifs des groupes de pression, de conseils et d’information auprès des décideurs et des institutions. C’est ça, ouvrir votre gueule, c’est ça faire de l’athéisme, car c’est ça qui permettra à nos enfants d’être enfin libérés des prédations des cultes et de tout ce qui en découle.
Rejoignez-nous sur : www.generation-athee.fr
Gilles Ragnaud
Pure politique
Les athées majoritaires ne se laissent pas, imposer, des projets religieux, seulement, « par pure connerie ». En France, on se laisse, de façon générale, bercer et endormir, par le principe de laïcité, reçu, de l’Ecole, « républicaine », martelé, ensuite, au cours, des meetings politiques comme celui auquel, j’ai assisté, samedi dernier, dans lesquels, les politiques rappellent, que chacun est libre, « en théorie », de croire ou de ne pas croire, sans plus de précision. Et les politiques assènent, encore que, c’est le rôle, de l’Ecole républicaine, à travers, l’Instituteur, le Professeur « et » le Docteur (Professeur d’Université), que de conduire, chacune et chacun, à l’émancipation, intellectuelle et matérielle. Or, « en pratique », toute conversion et toute confirmation, à la Religion s’opère, notamment, dans le temps, de l’enfance et au cours « même », de la scolarité (ce que pointait, d’ailleurs, Monsieur, Vincent Peillon, Ministre de l’Education Nationale, au cours, de son mandat). Ce qui signifie, par conséquent, qu’un savoir, non pas « contradictoire » mais en totale, « contradiction » avec le Principe, de la Raison, « émancipatrice » est dispensé, par quelques Instigateurs, qui « eux », pour le coup « jouissent », du respect, familial, contrairement, aux Instituteurs et aux Professeurs, non sans la complicité, parfois, de quelques puissants, « installés », de quelques politiques, « intéressés », d’une part et de la responsabilité, d’autre part, de certains politiques encore trop peu, « informés » ou trop peu « conscients », du « danger », qu’il font, encourir, à la République, par leurs accommodements, « laïcs » donc « licites », à la Religion. Ce que les politiques ne précisent pas, intentionnellement ou pas, c’est comment, l’Etat, doit ou devrait, continuellement, s’affirmer et se porter, sans jamais, « défaillir » comme le garant, le modérateur et le protecteur, « incontournable », des individus, « émancipés », parmi lesquels, s’il vous plait, la majorité, « athée » ; d’abord, pour secouer le joug, des Religions et des Superstitions, qui s’émanciperaient, autrement, de la République et ensuite, pour réprimander, la minorité, « sectaire », qui depuis peu et désormais, attend, sournoisement et frappe, soudainement, planquée, tapie, dissimulée, dans les « voiles », de Marianne. Paradoxalement, l’Ecole, « républicaine » et la Science éclairent, « gracieusement », la Religion, de leurs « lumières », tandis que cette dernière, en retour, converti, « avantageusement », aux « ténèbres », des générations, appelées, autrement, à l’émancipation, intellectuelle et matérielle. La triste, réalité, c’est que les Françaises et les Français, loin d’être, « cons », bien au contraire, voient, très clairement, que les Politiques, « eux-mêmes », auxquels, ils s’adressent, auxquels, ils recourent, « en vain », n’envisagent rien, ne projettent rien, de tangible, à l’encontre, des Religions qui forment, effectivement, un lobby, électoral « et » territorial, très efficace. La Religion peut bien, gagner, du terrain ; elle ne gagne pas, le cœur, des Françaises et des Français, pour autant. Cependant, la République stagne voire recule, dans le cœur, du Peuple. Et la Religion s’installe, toujours, dans le sillage, des Pouvoirs, autoritaires. « La France a peur », disait, l’autre. Et, c’est vrai ! Cette peur, c’est même, la signature, d’un travail et la marque, des pratiques, de la Religion. Celles, d’instiller, la peur, pour recueillir, la candeur. Mais, à qui revient, prioritairement, l’entretient, « permanent », d’un Contre-pouvoir et l’installation, « définitive », d’un Pouvoir, résolument et effectivement, républicain, laïc, dévolu et capable, de mobiliser, rapidement, à l’encontre, des prédations, politiques, économiques, sociales et territoriales, continuelles et/ou ponctuelles, des Cultes et/ou de tout autre, type, d’ingérence, en France autant qu’en Europe ? À l’élu ou à l’électeur ?
Robert de Provins.