CONFLIT DU 9 OCTOBRE

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Au matin du 9 octobre, l’horreur régnait déjà, avec un bilan déchirant : 700 vies fauchées, 2000 âmes blessées et près de 200 otages côté israélien, tandis que du côté palestinien, le nombre de victimes atteignait tragiquement 500, avec près de 120 000 déplacés. Cependant, il est impératif de reconnaître que ces chiffres sont éphémères, fluctuant au gré des heures. De nombreux pays ont vivement condamné cette offensive violente du Hamas.

Mais le Hamas lui-même n’est pas exempt de critiques, car il est accusé d’opprimer violemment ses opposants politiques. Ce conflit ancien entre Israël et la Palestine est un labyrinthe complexe où politique, religion et histoire se mêlent inextricablement, laissant une empreinte indélébile sur la région et le monde. Comme l’a si bien exprimé Edward Said, écrivain palestinien, le conflit israélo-palestinien demeure l’un des enchevêtrements les plus complexes de notre époque, un récit tissé de récits historiques, de considérations religieuses et de revendications territoriales s’étirant sur des générations.

Israël, en tant que démocratie, est constamment sous le feu des critiques concernant son traitement des minorités, en particulier de la population arabe israélienne. Des organisations internationales de défense des droits de l’homme, telles qu’Amnesty International et Human Rights Watch, ont documenté des inégalités persistantes, inscrites dans la trame même de la vie des Arabes israéliens.

De l’autre côté, les Palestiniens endurent d’innombrables souffrances. Les colonies israéliennes en Cisjordanie et le blocus de Gaza, universellement condamnés par la communauté internationale, représentent des défis quotidiens pour les habitants. Les Nations Unies elles-mêmes ont émis des résolutions déclarant que ces colonies violent le droit international.

La situation à Gaza est particulièrement déchirante, où des conditions de vie misérables et une dépendance massive à l’aide humanitaire prévalent. Tel que l’a exprimé António Guterres, Secrétaire général de l’ONU, “La situation humanitaire dans la bande de Gaza est désastreuse et atteint un point de non-retour.”

Il est essentiel de reconnaître que ce conflit ne peut être réduit à une équation simple. Comme l’a si sagement énoncé Albert Einstein, “La paix ne peut être maintenue par la force. Elle ne peut être atteinte que par la compréhension.” Ainsi, la paix doit naître de la compréhension mutuelle, de la tolérance et d’un engagement sincère envers une résolution pacifique.

Les athées, en particulier, insistent sur la nécessité de rechercher la paix ici et maintenant, au sein de notre communauté mondiale. Israël et la Palestine ne sont que le reflet des divisions plus vastes de notre monde. Comme l’a exprimé Richard Dawkins dans “The God Delusion,” “La science nous permet de comprendre le monde réel, tandis que la religion promet un monde imaginaire.”

En conclusion, il est impératif de prendre du recul par rapport à ce conflit profondément enraciné et de l’examiner sous l’égide de la raison et de la compassion. Les références aux rapports d’organisations internationales et aux résolutions de l’ONU soulignent clairement que la situation en Israël et en Palestine suscite des préoccupations à l’échelle mondiale. L’objectif ultime doit être de collaborer en vue d’une résolution pacifique qui respecte les droits de chaque individu.

Éric. M

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1 commentaire

  1. L’ me de la Guerre

    Je me demande, en tant qu’athée, à quoi vous pensez, en évoquant, des « âmes blessées ». Je parlerai, pour ma part, de « corps meurtris », par l’essence, de la Religion, toutes confessions, confondues. Je vous invite, alors, sans sortir, de votre corps, bien évidemment, à prendre, un peu de recul et de hauteur, sur la situation, présente, à la lueur, des faits, passés, pour révéler, l’habilité et la discrétion, d’un fauteur de trouble, « éthéré », qui, vraiment, franchement, ne manque pas d’air…
    Car, qui a inspiré et exacerbé, en Europe, la haine, des Juifs, sinon les Catholiques ? Qui a encouragé, les pogroms, en Europe, à l’encontre, des Juifs, sinon les Orthodoxes ? Qui a, l’entière responsabilité, en Europe, du génocide, des Juifs sinon les Protestants ? Qui a encouragé et favorisé, l’installation et la colonisation, des Juifs, au Levant, sinon les Anglicans ? Qui jure, enfin, la main gauche posée, sur la Bible, d’œuvrer, à la Paix, dans le Monde sinon les WASP (White Anglo Saxon Protestant), soutenant, de la main droite, l’expulsion, des Palestiniens, de toutes origines et de toutes confessions, pour remettre, gracieusement et précisément, aux Sionistes – qui ne sont pas, « représentatifs », du Peuple Juif, dans son ensemble – la Terre Sainte, en guise de lot, de consolation après que les Chrétiens, toutes obédiences confondues se soient « diablement », déchainé, sur eux ?
    En somme, n’est ce pas, « l’hôpital qui se fout, de la charité » ? Car, qu’importe, effectivement, la preuve, de l’existence ou de l’inexistence, des Divinités, dans le Monde, la Religion attise, « seule », les rivalités, confessionnelles, pour des raisons, « inavouables » sinon pour le Pouvoir et la Suprématie, jusqu’au conflit, armé, s’il le faut avec toutes les conséquences, politiques, sociales et économiques, qui conduisent, à leur tour, dans un « esprit de revanche », aux conflits, « historiques », en cascades, dés lors qu’Elle a prise (la Religion), sur la Politique et sur l’Economie. Quel est alors, l’intérêt, pour « l’empoisonneur », de prodiguer, des remèdes ou l’antidote, à « l’empoisonné » ? La Religion, (…), c’est « l’ me de la Guerre » !

    Robert de Provins

    https://www.youtube.com/watch?v=zKe8jze56Vg

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