L’IMMOBILISME IRRATIONNEL DES ATHÉES

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Ami(e)s athées, tant que nous ne formerons pas un collectif suffisamment important pour être pris au sérieux par les décideurs, nous ne serons jamais consultés sur des sujets pourtant essentiels pour notre quotidien et celui de nos familles. En attendant, les religions, elles, sont consultées et décident pour nous. Et ça, c’est inacceptable.

L’inaction, c’est l’acceptation… Quelques exemples concrets ?

En ne nous organisant pas, nous laissons l’État financer librement les religions : Subventions déguisées, exemptions fiscales, entretien de lieux de culte et financement de communautés religieuses à l’étranger. Voir ici

En ne nous associant pas, nous permettons le contournement de la séparation entre le culte et l’État… évidemment au profit des religions. Voir ici

En ne nous unissant pas, nous acceptons l’influence religieuse sur l’éducation : Écoles privées confessionnelles financées par l’État, pressions sur les programmes scolaires… De nombreux articles sur le sujet sont disponibles sur nos pages.

Notre manque de cohésion exclut d’emblée les athées des débats éthiques et politiques sur des sujets majeurs comme : L’avortement, la fin de vie, la bioéthique, les droits des femmes, etc.

Ne pas nous organiser, c’est aussi permettre aux religions de faire du lobbying, de l’ingérence et de l’entrisme politique via leurs réseaux d’influence, toutes confessions confondues.

En bref : ne rien faire, c’est accepter que d’autres décident à notre place.

Cette liste est bien entendu non exhaustive. Tant que nous n’aurons pas l’intelligence de nous fédérer pour créer un contre-pouvoir athée avec une structure forte et reconnue, capable de limiter l’influence des cultes, capable de défendre nos intérêts et ceux de nos familles… les religions continueront de gagner.

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