geneadm Quand un « influenceur ou groupe athée » soulève un, deux, trois, quinze, problèmes sur les ingérences religieuses, c’est bien, mais arrive à un moment où il faudrait aussi qu’ils sachent apporter des solutions. C’est là toute l’ambigüité de leurs “courants athées”, si on peut parler de courants, puisque se contentant de commenter et retweeter à longueur de temps quantité de problèmes, d’injustices, d’ingérences religieuses, sans but précis, cela n’apportera réellement jamais rien à la cause. Et personne ne peut leurs en vouloir, ces gens ne faisant que ce qu’ils savent faire et le faisant, la plupart du temps, très bien, même si au bout du compte, ça reste infécond, n’apportant rien de palpable à la cause.
Les mains dans le cambouis.
Chez Génération Athée, nous sommes plutôt bien placés pour savoir combien faire de l’athéisme peut prendre de temps, demander des connaissances, et des investigations. C’est d’autant plus difficile que nous notre courant athée ne se contente pas de retweeter des articles de presse, puisqu’alertant nous-mêmes sur des éléments qui le plus souvent, passent inaperçus, restent dans l’ombre des pouvoirs politiques, sociaux et économiques. À cela, bien évidemment, nous ajoutons ce qui fait la base de notre travail, la création d’un réseau athée, rassemblant de plus en plus de personnes formées pour rencontrer des décideurs, influencer et exercer des pressions. Mais ce n’est pas tout, puisque notre travail nous oblige aussi à toujours savoir apporter, dans tous les cas, des réponses à tous les problèmes que les athées et l’athéisme peuvent subir des religions.
C’est ici un autre athéisme qui demande bien plus que quelques posts et commentaires sur les réseaux sociaux, bien plus que quelques vidéos YouTube sans goût ni substances, laissant juste des sentiments amers, voire, par moment, des haines, le tout sans prendre le moindre risque. C’est là que l’on se rend compte que faire de l’athéisme demande aussi et surtout de mettre les mains dans le cambouis, de connaitre les sujets sur le bout des doigts, les comment, les pourquoi, les raisons des problèmes et de savoir les traiter dès la base. Et quand on est investi jusqu’au cou dans ce genre d’athéisme, on n’y fait que de la politique, dans le sens à la fois noble et administratif du terme, puisque étant en tout et pour tout incontournable des affaires étatiques, sociales et économiques. Et ce travail, cet athéisme, ne peut se faire seul, demande obligatoirement la participation de dizaines, voire de centaines de personnes, formées à mettre les mains dans le cambouis, apprennant à travailler ensemble via un athéisme totalement innovant.
Sans réseau, les religions gagneront.
Faire partie d’un réseau commence par des prises de conscience simples, celle par exemple, que nous athées, n’avons ni à subir, ni même à accepter les projets de société des religions. C’est prendre conscience que nous sommes de par nous-mêmes, porteurs de nos propres volontés, avec cette obligation de devoir les défendre et les imposer au nom de nos générations futures. C’est aussi comprendre que seuls les actes ont la capacité de changer le monde, et que pour faire évoluer les choses il y a besoin d’unions, de regroupements, d’alliances, de travailler tous dans le même sens, avec les mêmes buts.
faire de l’athéisme ce n’est pas hurler seul dans son coin.
Puisque faire de l’athéisme ce n’est pas hurler seul dans son coin, nous avons chez Génération Athée besoin les uns des autres, tous liés par cette conviction profonde de devoir émanciper ce monde de toutes formes de superstitions. Pour cela nous avons des méthodes, des savoir et savoir-faire, nous vous formons, et surtout nous vous ouvrons les portes du plus grand réseau athée d’Europe, une force d’influence colossale.
Rejoignez-nous. www.generation-athee.fr
Gilles Ragnaud